Voilà mon 14ème écrit pour Polyglot Nanowrimo. On continue l’histoire d’Arjen. Je vais inclure la partie dernière ici entre de les lignes horizontales.
Migako regarda hors de la fenêtre du train avec enthousiasme :
— Ouah ! C’est Mont Aru ! Vois-tu ça ? Arjen ?
Arjen regarda dans le vide. Elle ne lui répondit pas.
— Arjen ! Que penses-tu ?
— Oh, tu m’appelles ? Désolée, je suis en train de penser de quelque chose.
— Tu m’occupes encore de l’examen ? Relaxe-toi, on est en vacances.
— Tu es différente. Tu l’as réussi. Tu as du talent. Moi non.
— Ne te sous-estime pas comme ça. Je crois que tu vas réussir la prochaine fois, elle fit en prenant sa main, mais il faut relaxer. On ne réussira pas avec un esprit troublé comme ça.
Arjen tira sa main et regarda en bas.
— Tu m’aidera ?
— Je vais aider t’entraîner. Je le promis.
Elle soupira en soulagement.
— Mais pourquoi as-tu tel enthousiasme ? N’es-tu née ici ?
— C’est vrai. Mais je n’ai jamais y allé. Alors c’est ma première fois la voir si proche.
— Elle est si grande. À l’autre côté c’est Haasdaïga, non ?
— Oui. C’est la frontière naturelle entre eux. Selon la légende, quand les rebelles s’ont échappés d’Haasdaïga, la Phénix a érupté ce volcan pour les aider.
Elle ajoûta :
— Mais ça c’est seulement la légende. Grâce à la science aujourd’hui on sait que les volcans sont activés par les activités tectoniques. Telle une chose les gens du temps ancien ont fabriquée, hein ?
— Et si je te dis que ça c’est tout vrai, les dieux, les êtres mythiques ?
— Tu la crois ?
— J’en vois un. Mais pas une phénix, un dragon.
— Les dragons sont vrais ; ils habitent sous la mer entre l’Isanercent et l’Estyra.
— Je sais, je n’en parle pas. Je parle du Dragon Vert, c’est le dieu de la récolte et la fertilité dans ma culture.
— Tu le vois en personne ? Tu es sûre que ce n’est pas un rêve ?
— Quand tu le mentionne, j’avais eu inconsciente avant que je l’ai vu… Mais je suis sûre que c’est vrai. Je peut me sentir beaucoup plus énergetique quand j’utilise la magie. Et mon frère, il l’a vu aussi.
— Peut-être grâce à vos croyance, Migako sourit.
— Je crois mes sens. Quand on monte la montagne, voyons si la Phénix est là.
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